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Entre deux textes à rendre - 22

Nouveau petit détour par les à-côtés de l’écriture ou de la traduction !

Dordogne

Un jeu vidéo tout mignon, au design délicat, un jeu français qui plus est, que j’avais envie d’aimer… mais qui m’a laissé sur ma faim. Ses thèmes sont universels, son histoire touchante, malheureusement, à l’image de ses mécaniques qui en font tout juste un “jeu”, le tout ne creuse pas assez son sujet, la faute sans doute à une histoire qui tient en trois heures.

One Dollar Lawyer

Porté par le toujours très charismatique Namkoong Min, ce drama coréen, disponible sur Disney + (mais jamais mis en avant, donc encore fallait-il le savoir) joue habilement sur les registres du sérieux et de l’humour, sans verser dans la romance inutile, ou même les longueurs.
Et clairement, le rôle de cet ancien juge devenu avocat acceptant seulement 1000 wons par affaire était taillé pour l’acteur.


Chrome Dreams

Loin d’être un habitué du grand Neil Young, je me suis lancé dans l’écoute de ce projet qui aura mis visiblement longtemps à trouver la lumière du jour , du moins, sous cette forme (une version bootleg circule depuis… des décennies), et je suis tombé sous le charme.
Qu’il soit question des paroles ou de la musique, une bien belle traversée douce-amère.

Entre deux textes à rendre - 21

De nouveau, plusieurs mois se sont écoulés entre deux numéros de cette rubrique…
On se demande bien ce qui a pu se produire !
Mais me revoilà.

Detective Conan : The Culprit Hanazawa

Ah, Detective Conan !
Si vous avez toujours trouvé que le taux de criminalité dans cette version du Japon était tout de même sacrément problématique, ce spin-off est fait pour vous !
Avec un humour déjanté, il se moque gentiment de l’univers de la série principale, dont à peu près tous les personnages font une apparition. Avec en prime un criminel pas si lambda et un petit mystère. Les épisodes, courts, s’enchaînent très vite.
Cette première saison est disponible sur Netflix.



Rival Sons - Darkfighter

Qui dit nouvel album de Rival Sons devrait dire évènement sur le plan de la scène rock…
Même si je dois dire que je reste un petit peu sur ma faim.
Il manque peut-être d’un ou deux morceaux d’une trempe supérieure, même si le talent du groupe se révèle bien entendu toujours bien présent.



Hoa

Côté jeux vidéo, je manque là aussi de temps, mais j’ai tout de même lancé le tout mignon Hoa, un jeu de plateformes évoquant les Ori, mais sans ennemi. Le genre de jeux où appuyer sur une touche pour le lancer vous permet de décrocher un trophée ! Véridique. Facile et joli, que demander de plus ? Un peu de challenge, peut-être ?
Je dois avouer l’avoir totalement raté à l’époque de sa sortie.

Entre deux textes à rendre - 19

La rentrée est passée par là, évidemment.

Erica
Inutile de ressortir votre MegaCD, c’est bien sur Playstation 4 que l’on assiste au retour du thriller interactif en vidéo, via en prime une exclusivité.
On ne va pas se mentir : si je me suis tourné vers ce jeu dont je n’avais pas du tout entendu parler avant sa récente sortie, c’est pour Holly Earl… euh, pour la musique d’Austin Wintory, le compositeur de Journey ou The Banner Saga.
On se retrouve donc devant un film, tout bonnement, porté par l’actrice et franchement plutôt intelligent. Evidemment, ce n’est pas le genre de jeu que l’on va faire et refaire… Mais du moment que le scénario suit, Flavourworks démontre ici qu’il y a de la place pour ce type de productions.

Kimetsu No Yaiba
Ah, Panini, toute une histoire !
Après avoir publié ce manga (plus ou moins) en catimini, voilà que, succès fulgurant de l’anime aidant, l’éditeur a décidé de lui donner une seconde chance. A raison bien sûr, mais l’oeuvre aurait sans doute mérité plus de soutien d’entrée de jeu.
En tout cas, cette relance semble démarrer fort, et d’autant plus avec une opération deux tomes pour le prix d’un.



Bloodborne, la bande originale
Que dire de plus sur ce double-vinyl ?
Je suis très content d’avoir eu l’occasion de le récupérer.
D’autant qu’il semble déjà épuisé

En kiosque : Game of Thrones & la science !

Un petit billet, un de plus cette semaine, pour vous signaler la parution du hors-série, un de plus là aussi, de Science & Vie consacré à la saga Game of Thrones à quelques jours du début de l'ultime saison de la série.
Evidemment, qui dit Science & Vie dit prisme... scientifique ! Mais pourquoi vous parler de celui-ci plus que de ceux de Philosophie Magazine ou de LIRE ? Eh bien, parce que j'ai moi-même participé à ce numéro, bien modestement, mais tout de même ! J'aborde notamment la question des langues dans la série et des projets de séries fantasy à venir, séries qui aimeraient bien reprendre le flambeau de Game of Thrones, évidemment.

Ce fut une expérience somme toute assez "légère" - puisque j'ai officié en tant que pigiste - mais qui m'a permis de me changer du train-train habituel et de renouer avec mes expériences passées dans le domaine des magazines et autres revues (SF Mag, SciFiNow, Bifrost...) !
Le hors-série est disponible dès maintenant un peu partout !

Entre deux textes à rendre - 17

Il était temps de se lancer dans une nouvelle édition de cette rubrique !

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Pierre de lune :
J’ai tout récemment découvert W. Wilkie Collins, l’ami et rival de Dickens, avec quelques-unes de ses nouvelles, avant d’enchaîner donc avec ce Pierre de lune, présenté comme le premier récit policier moderne. Que dire ? C’est effectivement du très haut niveau, avec un style bien sûr inscrit dans son époque mais encore tout à fait moderne, sans compter les voiles levés sur ce que la bonne société préférerait cacher.

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Feral Roots :
Le sixième album de Rival Sons est disponible depuis quelques semaines maintenant et c’est une bonne petite claque (pour mes oreilles en tout cas). Il me semble qu’on sent un groupe en pleine confiance et sûr de ses moyens, à même de fournir un album entier de morceaux plus flamboyants ou écorchés les uns que les autres.
Et cette pochette…



Conarium :
J’avoue avoir traîné des pieds pour me lancer dans ce jeu en partie à cause de son nom qui en français ne sonne pas forcément très bien…
Dommage : même s’il ne révolutionne pas le genre des walking simulator à tendance horrifique, c’est une plongée réussie dans l’univers de Lovecraft (ici après les Montagnes Hallucinées). Il ne déroge toutefois pas à la règle des jeux réalisés par une petite équipe : c’est court, d’autant que les énigmes ne vous feront pas buter longtemps.

C'est promis, c'est promis...

J’arrête tout de suite de faire joujou avec le mode de création de personnages de Soul Calibur VI en mode Empire du Léopard et je retourne préparer mon billet sur les perspectives 2019 - traduction et écriture de concert, une fois encore.
Mais en attendant…

PS : au passage, tous ces designs ont été partagés en ligne et sont donc téléchargeables, mais comme il n'y a pour ainsi dire pas de moteur de recherche dans le jeu pour retrouver une création précise...  Bon courage !