Comme j’en ai pris l’habitude depuis deux ou trois ans, ces dernières semaines, je me suis permis quelques recommandations de lecture pour vous occuper pendant les vacances !
En espérant bien sûr que vous en preniez. Il s’agit généralement de coups de cœur chroniqués sur Elbakin.net, mais pas que !
Je reviens dessus, ou vous présente ces titres, via de courtes vidéos, à retrouver sur mon compte Instagram.
Ci-dessous, le dernier, posté hier !
News
Le billet lectures pour Halloween
Précision d’entrée de jeu : si vous n'avez pas envie de lire cet article, vous pouvez passer tout de suite à la vidéo ci-dessous. Je n'ai pas récité de texte (donc il ne s’agit pas d’un copier/coller au sens strict), mais j'ai présenté les mêmes ouvrages sur Instagram.
Si vous avez l'occasion de le trouver d'ici dimanche... Mon premier roman est sans doute le plus proche dans l'ambiance d'une véritable lecture d'épouvante, voire d'horreur, si l'on met de côté certains chapitres de L'Empire du Léopard. Même si certains y ont vu un roman Young Adult, d'autres ont visiblement senti un léger frisson leur parcourir l'échine !
J'espère bien qu'il sera possible l'un de ces jours de le retrouver en librairie...
“Une note d’espoir
Kokorin se voit chargé de dérober une boîte à musique qui ne semble avoir aucune valeur particulière. Pas de palais dont tromper la sécurité, pas de gardes à éviter, mais juste un taudis à cambrioler, dans l’un des pires quartiers de la ville. Qu’est-ce qui peut bien se cacher derrière cette mission ? Peut-être est-il question d’une voix surgie du passé, en plein festival d’été...
Convoi
Alexey conduit la locomotive de la seule ligne de chemin de fer à faire le tour de la chaîne des Apennins. Longeant le barrage rempli de sélénium aux allures de lac, elle capte un jour un étrange signal sur son poste radio. Qui pourrait bien chercher à établit le contact, au-delà de toute voie ferrée connue ?”
“Un visage dans la cendre :
Kokorin est un voleur qui a du mal à se faire aux nouvelles pratiques de son univers. Contraint de se contenter d’une récompense offerte pour retrouver un chat disparu, notre homme va devoir pourtant s’y confronter de plein fouet.
Danser avec le Chaos :
Il ne fait pas bon vivre au pensionnat Petrovna.
Et le nouvel An de 1923 ne devrait guère bouleverser les choses. À moins que… ”
Les histoires de Célestopol n'ont jamais exploré frontalement ce que l'on appelle l'horreur au sens de genre littéraire, mais je me suis parfois introduit à la lisière. Là encore plusieurs récits auraient leur place à l'occasion d'une lecture le 31 octobre sous les couvertures et avec votre lampe de poche comme seul recours afin de repousser les fantômes.
Et enfin, qui dit Halloween du côté de ma modeste bibliographie dit... Poussière fantôme, évidemment !
Pensez donc :
“Une histoire de fantôme rocambolesque… à Montréal !
Être guide touristique spécialisé dans les mystères du Montréal hanté n’est pas facile tous les jours, malgré les pourboires et les touristes à berner. Mais ça l’est encore moins quand on peut réellement converser avec les fantômes, trop contents de trouver quelqu’un à qui parler !
Depuis qu’Archibald a fait la rencontre d’Elizabeth McKenzie, jeune scientifique décédée dans des circonstances étranges en 1917, sa vie a basculé. Déterminé à aider Elizabeth à lever le voile sur sa mort, Archie va devoir compter sur des amis parfois surprenants et apprendre à percer les secrets de la poussière fantôme, alors que les revenants, goules et autres spectres de la ville se montrent de plus en plus menaçants…
Et tout ça si possible sans trop se fatiguer !”
Même si ce n'est pas mon roman le plus lu, ou le plus apprécié, eh bien, je garde une nostalgie particulière envers lui, d'autant que c'est une lecture fun et un univers coloré qui m'est cher.
Voilà !
J’espère vous avoir donné envie de découvrir ou de replonger dans l’un de mes textes. Et… je vous souhaite de très bons frissons !
Entre deux textes à rendre - 1
Pour vous parler un peu d'autre chose entre deux romans...
Marco Polo :
Présentée parfois comme la réponse de Netflix à HBO et Game of Thrones, j'ai longtemps hésité à regarder Marco Polo, pour découvrir finalement une série bien maîtrisée, avec des personnages charismatiques, une atmosphère épique et de gros moyens (tournage au Kazakhstan, qualité des effets spéciaux, un générique sublime qui ne gâche rien...). Tout n'est pas parfait mais je n'ai pas été étonné de voir que les spectateurs l'ont visiblement bien mieux accueillie que les critiques initiales.
Et difficile en suivant Marco Polo de n'avoir pas envie de découvrir la culture mongole ! Je vous conseillerai par exemple le récent Mongolie : la vallée du grand ciel, un magnifique ouvrage et surtout bien plus qu'un "simple" beau livre.
Mortal Kombat X :
L'introduction du podcast de Silence on joue dans son numéro en partie consacré à cette nouvelle déclinaison de la célèbre saga de jeu de baston est particulièrement bien vue (autour de la 28eme minute), à travers son aperçu du mode histoire : atmosphère assumée de série B quand ce n'est pas Z, retournements de situations loufoques, séquences d'un premier degré inébranlable suivies de répliques si nulles qu'on finit par rire, quand il n'est pas question de "sagas" familiales tendance soap opera...
Les Scorpion et Rayden des années Megadrive sont toujours là, mais épaulés voire remplacés par de nouvelles têtes parfois... étranges... ou pas. Ah, Cassie Cage... Hum. Et le tout sans parler d'un univers alternatif très... fantasy finalement, avec tout ce qui touche Kotal Kahn.
Mumford & Sons - Wilder Mind:
J'ai toujours eu des réticences face à la folk de Mumford & Sons, tout en aimant vraiment beaucoup certains morceaux. Pour tout un tas de raisons, mais surtout après m'être rendu compte qu'une des chansons de leur premier album (Thistle & Weeds") voyait son refrain reprendre note pour note celui du morceau Emotion Sickness de Silverchair (pour le coup un groupe très largement sous-côté)... Et ce n'est pas cette troisième galette qui va vraiment me réconcilier avec eux.
Si les guitares électriques sont mises en avant et si le chant de Marcus Mumford se fait plus affirmé, on est tout de même loin d'une véritable évolution.
Et on tourne un peu en rond !
Le conseil avisé du 1er avril
Chers amis,
S'il y a bien une chose que l'on peut partager aussi bien avant d'entamer un simple billet de blog qu'un cycle en 10 volumes, c'est l'angoisse parfois irrépressible de la page blanche.
(Image d'illustration piochée au hasard complet).
Très modestement, j'aimerais essayer de vous faire part de quelques observations personnelles sur la question nées, après plus de 8 ans de traduction et 15 ans à baigner dans un univers qui...
Euh, à droite, l'image ? Ou à gauche ? Bref.
Où en étais-je donc ? Ah, oui, voilà.
Mais, je vous le dis, il faut embrasser ce que je qualifierai plutôt de toile prête à accueillir vos couleurs comme si...
Euh, on m'écoute, là-dehors ?
Et comme le disait justement le grand Stephen King dans Écriture, il ne faut pas hésiter à... Hum. D'accord...
OK.
Bon, on en reparlera un autre jour, très bien.
En attendant, méfiez-vous des poissons de saison... Je n'ai pas dû choisir une très bonne date, ça doit être ça.
PS : toute malice mise à part, le mois d'avril risque de valoir son pesant de... toiles hors traductions, donc on en reparle plus sérieusement TRÈS vite ! ;-)