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Le conseil avisé du 1er avril

Chers amis,

S'il y a bien une chose que l'on peut partager aussi bien avant d'entamer un simple billet de blog qu'un cycle en 10 volumes, c'est l'angoisse parfois irrépressible de la page blanche.
(Image d'illustration piochée au hasard complet).
Très modestement, j'aimerais essayer de vous faire part de quelques observations personnelles sur la question nées, après plus de 8 ans de traduction et 15 ans à baigner dans un univers qui...
Euh, à droite, l'image ? Ou à gauche ? Bref.
Où en étais-je donc ? Ah, oui, voilà.
Mais, je vous le dis, il faut embrasser ce que je qualifierai plutôt de toile prête à accueillir vos couleurs comme si...
Euh, on m'écoute, là-dehors ?
Et comme le disait justement le grand Stephen King dans Écriture, il ne faut pas hésiter à... Hum. D'accord...
OK.
Bon, on en reparlera un autre jour, très bien.
En attendant, méfiez-vous des poissons de saison... Je n'ai pas dû choisir une très bonne date, ça doit être ça.

PS : toute malice mise à part, le mois d'avril risque de valoir son pesant de... toiles hors traductions, donc on en reparle plus sérieusement TRÈS vite ! ;-)

 

Chaud au cœur

Pas d'info particulière sur le front de la traduction cette semaine - même si j'ai terminé mon dernier projet en cours lundi -, mais qui dit, euh, eh bien, mon nom, dit sans doute Elbakin.net et fantasy.

Si je ne suis plus associé directement à la branche associative d'Elbakin.net - n'étant plus qu'un "simple" membre -, j'ai été ravi de voir celle-ci prendre une décision importante et parlante cette semaine, avec un soutien financier actif au beau projet du Panorama illustré de la Fantasy nouvelle version.

Et si on ne le fait bien sûr pas pour recevoir des compliments, tout comme Elbakin.net depuis ses débuts, cela fait toutefois très plaisir de lire des choses comme ça, au détour d'une page.
Même et surtout à un océan de distance et quand la tâche n'est pas toujours si facile. Je serai en tout cas bien mal placé pour critiquer le travail en équipe.

Et bien sûr, c'est là un projet que vous pouvez encore et toujours soutenir !

 

En librairie cette semaine : "La Loi du Tyran"

Tiens, ma première traduction disponible cette l'année !

Et surtout bien sûr le troisième tome du nouveau cycle de Daniel Hanover/Abraham, quelques mois à peine après la parution de la traduction du tome 2, en novembre 2014.
Ci-dessous, le synopsis du roman - résumé qui n'est pas de moi - amputée de sa dernière phrase, un peu trop spoiler à mon goût.

La paix est revenue sur le royaume d'Antéa. Mais sur le trône, le regent, Geder Palliako, a de plus grandes ambitions. Il veut pacifier le monde, par l'épée et le sang, sous la bannière de la déesse araignée.
Clara, ancienne baronne d'Osterling, veuve en disgrâce depuis l'insurrection matée, a reconnu les signes annonciateurs de la guerre. Seule, pour l'instant, elle va se dresser contre le fléau en marche.


Et pour rappel, non, ce n'est pas le dernier tome... :-)
Il en reste en effet encore deux ! Rendez-vous déjà jeudi pour celui-ci.

Balade à Columbia...

J'ai déjà mentionné plusieurs fois le "FPS mais bien plus que ça" BioShock Infinite.
Eh bien, sachez que si vous ne l'avez toujours pas fait, c'est une honte, mais vous pouvez encore vous rattraper... si vous avez encore une Xbox 360 sous la main.
Car le jeu sera gratuit ce mois-ci sur la console de Microsoft dans le cadre de l'opération mensuelle Games With Gold.

On peut reprocher au FPS de Ken Levine de ne pas être tout à fait à la hauteur de son ambiance, de ses personnages ou de ses ressorts scénaristiques (sans parler de sa direction artistique, etc, etc...), puisque l'on passe souvent d'une "arène" à une autre et ainsi de suite, mais c'est une réussite à tant d'autres niveaux qu'on lui pardonne aisément.
En creusant un peu, les jeux vidéo dotés d'un scénario bien pensé/original ne sont pas si rares, mais on ne va pas revenir une fois encore sur cette fin...
Et quelle fin.

La routine, sans poutine

Il est parfois bon de souffler un peu.

Ou plutôt, de prendre le temps de se poser pour mieux s'organiser, un conseil pour le moins "bateau", je le concède, mais qui prend tout son sens quand on se retrouve balloté par les évènements du moment.

De là à choisir de reculer pour mieux sauter, il n'y a qu'un pas justement, mais que je ne franchirai pas.

Jongler avec plusieurs balles a toujours un petit côté désordonné qui fait son charme, mais retrouver son train-train quotidien n'a pas que des mauvais côtés, au contraire. Et pas seulement pour une question de beurre dans les épinards, évidemment.

Personnellement, j'ai toujours eu besoin en période de traduction à rendre de journées de travail un minimum structurées et c'est toujours le cas, peu importe l'éditeur ou le texte concerné.

Que ce soit pour cette fois avec un éditeur avec qui je n'avais encore jamais travaillé n'y change donc rien mais je m'aperçois que cette routine et ces heures de boulot patiemment définies m'avaient vraiment manquées ces dernières semaines.

C'est qu'on ne se rend pas toujours compte de sa chance...