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L'Empire du Léopard : la couverture ! Mais qui est Cérès ?

C'est donc en ce 2 février que les éditions Critic ont levé le voile sur la couverture de mon roman à paraître en avril, avec une illustration originale signée Pierre Droal. 
Au centre de tout, le personnage de Cérès Orkatz, le colonel à la tête du régiment emporté dans la tourmente.

J'aime beaucoup cette vision de Cérès, un personnage qui m'accompagne au quotidien depuis de longs mois maintenant. 
Et ce n'est pas toujours facile pour l'artiste chargé de lui donner vie ainsi de saisir ce qu'un auteur peut bien avoir en tête ! Mais le défi a été relevé haut la main par Pierre, que j'espère toujours n'avoir pas bombardé sous un déluge d'informations et de points de détails. 

 

Comment vous présenter Cérès en quelques mots en attendant la sortie du roman ?
Je peux déjà dire que c'est, je l'espère, une figure plus proche d'Emory Upton que de Kate Upton. ;) C'est une jeune femme "exilée" à l'autre bout du monde connu, qui croit avoir perdu ses illusions depuis longtemps. La vie militaire l'a façonnée, mais ne la fascine pas. Elle monte un cheval nommé Bucéphale. Elle est gauchère. C'est une bretteuse hors pair. Elle ne croit pas en la magie et aux mythes qui pullulent des deux côtés de l'océan, que ce soit les Séraphins ou les fées.  
Et pour l'anecdote, pendant que j'écrivais, vu que j'ai une imagination très "cinéphile", je voyais Karen Gillan (Dr. Who, Les Gardiens de la Galaxie, Jumanji, je me suis même infligé Oculus, c'est vous dire....). ^^


Voilà ! Que dire de plus ? Le roman est là pour ça après tout ! 
D'ailleurs, vous pourrez découvrir le prologue dans Le Verrou du Fleuve du sémillant Lionel Davoust, en librairie dès le mois prochain ! 

La naissance d'une illustration

Je crois sincèrement que pouvoir donner vie à un univers, lui permettre de prendre corps dans le cadre d'une illustration, relève quelque part de la magie.
Bon, sans doute aussi car je n'ai aucun talent crayon, pinceau ou stylet de tablette graphique en main, certes.
Ce qui n'est évidemment pas le cas de Marc Simonetti.

Quand ce dernier m'a proposé alors que le roman n'était même pas terminé de se charger de l'illustration de couverture, il m'a fallu relire deux ou trois son mail pour prendre pleinement conscience de cette opportunité. Cela fait en effet de longues années déjà que je suis et apprécie le travail de Marc au plus haut point. "Collaborer" (très modestement) avec lui dans le cadre de certaines couvertures comme celles des tomes 2 et 3 de la trilogie de Sam Sykes ou La Cité des Dieux de Felix Gilman fut déjà une sorte de rêve éveillé.

Mais, de mon côté, il s'agissait "simplement" de traductions.
Je n'étais que l'intermédiaire de l'auteur, et encore, essayant de trouver la bonne piste, le bon personnage à mettre en scène. Avec Le village, on parle d'une histoire que j'ai portée durant de longs mois et pour laquelle j'ai toujours autant de tendresse maintenant. 
J'avais en tête une vision très précise de l'ambiance que je voulais dévoiler au fil des pages. Certains passages de l'intrigue se sont d'ailleurs imposés à moi justement par leur nature purement graphique. Il fallait quelque chose d'oppressant, de diffus, de mystérieux.

Et quand on assiste en live - ou en replay - à la naissance des lieux et des personnages qui m'ont accompagné pendant des mois... voilà qui ne peut pas laisser indifférent. Ils s'éloignent déjà de mon imagination nourrie d'incertitudes, mais pour mieux venir à votre rencontre, j'espère.  

Et dire que cela fait déjà une semaine !

La version que l'on retrouvera dans l'artbook Coverama, pour la première fois sans le logo de l'artbook.

Merci encore Marc.

Il est de retour...

Le Régiment Perdu bien sûr !

Je vous l'avais dit, j'avais signé un petit quelque chose pour que les trois tomes du Régiment Perdu que j'ai traduits par le passé - enfin, 4, on s'en souvient - puissent être intégrés à l'opération "10 ans 10 euros" de Bragelonne cette année.

Eh bien, je viens de découvrir la couverture, perdue (ah, ah) sur Amazon.fr. Évidemment, je ne pouvais donc que la partager !

En librairie le 18 juin ! Un véritable appel à vous laisser tenter, non ?